Le citoyen ordinaire Baraka Kamuha Frédéric donne son point de vue et demande que les nomenclatures s’adaptent au vécu quotidien du citoyen et la caisse nationale de péréquation devrait jouer son rôle dans des Entités Territoriales Descentralisées sous menace de guerre.
Vu la précarité sécuritaire qui s’observe sur l’ensemble de la province du Nord-Kivu en particulier, la personne ressource exhorte le gouvernement de la République démocratique du Congo via ses différents services étatiques comme la Direction Générale des Impôts (DGI), la Direction Générale des Recettes du Nord-Kivu (DGRNK) et autres a minimiser les coups pesants des différentes taxes perçues auprès des opérateurs économiques qui pendant une longue période sont entrain de subir des pertes énormes de leurs marchandises dans des embuscades d’incendie de leurs véhicules sur différents axes routiers par des combattants ADF et autres groupes de milices dans les entités administratives descentralisées en proie à l’insécurité.
Celui-ci pense que pour le budget de 2023 et les nomanclatures en RDC, vu la conjoncture que la population du Nord-Kivu et de l’Ituri est entrain de vivre devaient en principe s’adapter aux réalités que les habitants de ces deux provinces traversent ces derniers temps. Il suggère que le gouvernement Rdcongolais aujourd’hui sous le régime du président Felix Antoine Tshisekedi Tshilombo avec son slogan fétiche « Le peuple d’abord » allège certaines taxes, et que si celà peut se révéler possible certaines charges de l’État devraient être en principe supplées par la caisse nationale de preequation.
Georges Kizito depuis Beni