La violation des normes recquises en ce qui concerne principalement la pêche sur le lac Édouard à partir de la pêcherie située en cité lacustre de Kyavinyonge s’accentue de plus en plus par certains pêcheurs clandestins en complicité avec certains services de l’État basés au niveau local. Ces différents services de l’État seraient entrain de faciliter tous les désordres observés dans cette partie de la chefferie des Bashu en territoire de Beni au Nord-Kivu apprend-t-on du comité des pêcheurs de la cité précitée qui cite nommément le service de l’agriculture pêche et élevage et le service de l’Environnement et Développement Durable.
Mbusa Kavasya Noé, président honoraire du comité des pêcheurs de Kyavinyonge tape du poing sur la table en appelant le ministère de la pêche et élevage en RDC, et l’ensemble du gouvernement d’avoir des yeux rivés vers cette pêcherie en fin de mettre fin à cette pratique. L’ancien représentant des armateurs en pêche parle d’une part de la marine Ougandaise (UPDF) qui ne cesse de s’attaquer aux citoyens Congolais qui pratiquent leur pêche sur ce lac sans violation même de la frontière liquide. Celui-ci parle de (6) moteurs hors-bord qui étaient déjà saisis par les éléments de l’UPDF mais qui sont déjà libérés grâce aux efforts ménagés par leur comité depuis dimanche 20 novembre 2022.
La personne ressource parle également de la pêche illicite qui s’amplifie d’avantage sur le lac Édouard facilitée par les pêcheurs clendestins à partir des villages comme Kagezi, Kyanika et autres. Outre cet aspect, Mbusa Kavasya Noé parle aussi des doublons des numéros matricules qui se font voir sur certaines pirogues de pêche en présence des services habiletés dans ce domaine mais qui demeurent sans réaction, au côté d’une multitude des matricules qui ont déjà dépassé le nombre recommandé par le gouvernement de la RDC sur le lac Édouard à partir de la pêcherie de Kyavinyonge.
Georges Kizito depuis Beni